mardi 27 octobre 2009

Baikaryu Eisanka |


Il est dit qu’étudier ou écouter du Baika Eisanka mène à un sentiment de paix et de tranquillité.
Lorsqu’on parle de Baika, l’on se réfère à la fleur de prunier. Quand il est fait mention de Baikaryu Eisanka, il est question d’une pratique du chant choral bouddhique de l'école Zen Soto créée au Japon en 1952. Le Baikaryu Eisanka est composé de courts poèmes de louange écrits dans le syllabaire hiragana et chantés en s’accompagnant d’une cloche et d’un gong métallique. Dans les temples, les groupes de Baika (Baika Koin) ont une fonction sociale ; en venant au temple s’exercer on apprend à être ensemble et à partager avec l’autre. C’est une autre façon d’appréhender les enseignements du Bouddha Shakyamuni, Dôgen Zenji et Kaizan Zenji.
A Genève, la pratique du Baikaryu Eisanka est sous la direction de la nonne zen d’origine Suisse, Jiho Myoshitsu.


Traduction anglaise :libre
Baikaryu Eisanka recital

It is said that studying or listening  Baika Eisanka leads to a feeling of peace and tranquillity.
When we talk about Baika, we refer to the plum blossom. Baikaryu Eisanka is a practice of singing of the Buddhist Soto Zen School founded in Japan in 1952. The Eisanka Baikaryu is a form of Japanese Buddhist music consisting of short poems of praise written in the hiragana syllabary and sung accompanied by a hand bell and a small metal gong.
In temples, Baika’s groups (Baika Koin) have a social function ; in coming to the temple and practicing, we learn to share with each other. This is another way to understand the teachings of Buddha Shakyamuni, Dogen Zenji and Kaizan Zenji.
In Geneva, Baika Baikaryu Eisanka is praticed under the direction of Jiho Myoshitsu, a swiss zen nun.